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• 8th Nordic Geographers Meeting

Deadline for abstracts 10 December 2018 (See https://www.ntnu.edu/geography/calls-and-deadlines)

Sustainable Geography – Geographies of Sustainability

The 8th Nordic Geographers Meeting in Trondheim, Norway, June 16 – 19 2019

The term ‘sustainable development’ has become part of our everyday vocabulary, especially after the World Commission on Environment and Development published its report Our Common Future in 1987. As a result of the Commission’s report, the consequences of economic reason for all living systems, was explicitly put on the agenda. Thus, through sustainable development economic growth and long term environmental concerns were configured as compatible and in fact complementary with securing a sustainable common future. While the notions of sustainable development and sustainability have received widespread criticism for being all-encompassing, apolitical and elitist, they are still very much part of the rhetoric ‘weaponry’ mobilized, now often in combination with the terms green economy and green growth, to describe and prescribe why and how to deal with contemporary and future global challenges.
Sustainable Geography – Geographies of Sustainability provide opportunities to engage with ideas of sustainability within geographical scholarship, the politics of sustainability beyond the academy and the shifting discipline of geography itself. At the 8th Nordic Geographers Meeting in Trondheim we ask: What are the emerging challenges across the world and what role should or could the discipline of geography play in addressing and solving them, both within and beyond the academy? What emotions, behaviours, moralities, powers, transformations, hopes, grieves and responsibilities at different scales are implicated in thinking and acting sustainably? To what extent are our conceptual and methodological toolkits attuned to the shifting geographies of sustainability of the world today? Resources are distributed based on historically unmatched levels of inequality. Are we, then, at a point in time where ‘our uncommon future’ is becoming an increasingly apt diagnosis? What alternative agendas and concepts are emerging that challenge or complement sustainability as a problem formulation and agenda for the future?
See for details https://www.ntnu.edu/geography/ngm-2019

• Political geography graduate student paper competitions

Description: The student paper competitions are open to all students who have written and presented a research paper on a topic in political geography.


Guidelines are as follows:


1.      The competition is open to all students, however a student may not receive a Student Paper Competition award more than once during her/his tenure as a student.  See also 8a below.


2.      The entries must be research papers and not complete theses or dissertations. Papers must not be longer than 15 pages double spaced 12 point font, plus bibliography.


3.      Entries must be on a topic in political geography.


4.      Paper entries must have been presented at a professional meeting during the period beginning with the first day of the previous AAG Annual Meeting and concluding with the last day of the next AAG Annual Meeting.


5.      Digital copies of papers must be submitted electronically to the PGSG’s Student Paper Award Committee chair by Friday March 15, 2013.


6.      Submissions will normally be divided into Masters and Ph.D. student divisions.


7.      Submissions will be judged on their written clarity, methodological and theoretical soundness, and their contributions to research in political geography.


8.      All monetary prizes are awarded at the discretion of the Student Paper Award Committee. Awards will normally include:

A.  A regional student-paper award: for a paper presented at a Regional AAG meeting; award will be $100 for the top paper(MA or Ph.D. level, only one award); a student may not win both student paper awards;

B. Doctoral Student Award ($250),

C. Master’s Student Award ($250),

D.  up to three Honorable Mention awards ($150).


9. The results of the Student Paper Award competitions will be announced to the winners just prior to the annual AAG meeting. The awardees (including any Honorable Mention awardees) will be invited to attend the annual AAG Awards Luncheon at the expense of the PGSG.  The awards will be formally announced at the PGSG business meeting and payment will take place shortly thereafter. The awardees’ names and paper titles will be forwarded to the AAG for publication in the AAG Newsletter.


10.     Any questions pertaining to eligibility will be resolved by the Student Paper Award Committee.


Graduate Student Paper Committee:


Corey Johnson, Committee Chair, University of North Carolina – Greensboro, corey_johnson@uncg.edu


Steve Radil, Ball State University, sradil@bsu.edu


Helga Leitner,University of Minnesota, helga.leitner-1@umn.edu

• Young researchers meeting

Young researchers meeting:  Geographies of the margins and margins in geography

Paris –  April 22, with Claude Raffestin

 

Appel à communications

 

 

• EChoGéo: call for articles

special issue of EChoGéo    

 

Police: les espaces de l’ordre, l’ordre en place?

Date limite d’envoi des articles : 25/10/2013

 

 

Ces dernières années, la police a été au cœur de nombreux débats scientifiques. Les écrits en histoire (Houte, 2010 ; Chevandier, 2012 ; Deluermoz, 2012), anthropologie (Fassin, 2011) ou encore en sciences politiques et sociologie (Dieu, 2000 ; Jobard, 2002 ; Loubet del Bayle, 2006 ; Ocqueteau, 2006) se sont multipliés sur la police et la gendarmerie. Les philosophes critiques, et en particulier Jacques Rancière (1990), réfléchissent eux aussi sur la police, non en tant que corps d’État mais entendu comme concept plus large de mode de gouvernement et système de régulation entre les individus.

Etonnamment, la géographie est restée en marge de ces réflexions, en dépit des travaux critiques anglophones de Steve Herbert sur la police de Los Angeles (Herbert, 1996) ou ceux plus récents de Mustafa Dikeç (2007) sur les banlieues françaises. Cet intérêt tout relatif pour les forces de l’ordre (police et gendarmerie), en particulier dans la géographie française, peut apparaître paradoxal dans la mesure où ordre et espace sont intiment liés. Cette dimension spatiale ne saurait se limiter à celle du contrôle. L’idée du présent appel à contribution est d’aller au-delà d’une vision foucaldienne qui envisagerait uniquement la police comme un dispositif omniscient de contrôle social et de surveillance pour comprendre de façon plus large la spatialité policière. Des territoires d’actions et d’intervention sont définis : la police peut être de proximité, de l’air et des frontières, de l’eau … La présence policière est requise dans certaines rues, routes et zones jugées symboliques et stratégiques tels les lieux touristiques. A l’inverse, il est parfois reproché aux policiers d’éviter certains espaces qualifiés de « sensibles » ou autres zones de « non droit ».

Par ailleurs, policiers et gendarmes utilisent quotidiennement certains outils géographiques tels la cartographie, la géolocalisation, les SIG (Manning, 2008). La technologie est elle-même vue comme un prolongement policier avec les caméras de vidéosurveillance, bracelets électroniques, puces RFID … Les forces de l’ordre en viennent ainsi à produire une/leur géographie, qui est elle-même révélatrice d’autres spatialités comme celle des politiques publiques avec leur « géographie prioritaire » et la « géoprévention ». La géographie de la police et de la gendarmerie semble se confondre avec la géographie de la criminalité et de la délinquance. La superposition des cartes de perception de l’insécurité, de plaintes et des votes électoraux est ainsi riche d’enseignements.

Dès lors, en France comme ailleurs, le regard du chercheur ne peut être qu’interpellé par cette lecture qui est aussi une production spatiale de l’ordre, une production policière de l’espace. Où les forces policières se concentrent-elles ? Comment ces différentes forces se déploient-elles sur le territoire ? Quels sont les principaux lieux d’intervention, points et zones à couvrir, et comment ces répartitions sont-elles justifiées par les décideurs ? Quels liens existe-t-il entre présence policière et espaces de la criminalité, et entre présence policière et espaces du sentiment d’insécurité ?

Les limites des lieux d’intervention sont tout aussi significatives et invitent à réfléchir aux découpages territoriaux et aux choix qui les sous-tendent. Ce point se révèle d’autant plus intéressant à explorer qu’à l’échelle internationale, les frontières se brouillent, notamment entre ville et campagne. En France, la dichotomie entre la police chargée de veiller sur la polis -et donc la cité-, et la gendarmerie, héritière de la maréchaussée, censée se déployer dans le monde rural, est-elle encore valable dans une société en partie périurbanisée ? Dans le même ordre d’idées, la possible concurrence entre police nationale et police municipale, police nationale et armée offre des pistes d’investigation : quels espaces jugés stratégiques échappent au contrôle des uns pour revenir aux autres (à l’instar des gares, aujourd’hui surveillées par des militaires) ? Le ministère de l’Intérieur se trouve-t-il dépossédé du contrôle de certains espaces au profit du ministère de la Défense ?

Envisager les forces de l’ordre comme un objet géographique invite également à s’interroger sur les connaissances empiriques des policiers et gendarmes. Celles-ci semblent fortement liées à leur lieu d’origine, ainsi qu’à leurs carrières professionnelles et trajectoires résidentielles.

Ce dossier thématique invite à décrypter les pratiques et discours « géographisant » de la police afin de comprendre les visions territoriales du maintien de l’ordre. Dans cette optique, le dossier fait appel à des contributeurs de différents horizons disciplinaires (géographie, sociologie, anthropologie, histoire, sciences politiques…). Les approches sortant du cadre français et/ou comparatives sont les bienvenues. Quelques entrées, non exhaustives, sont proposées :

  • discontinuités, fractures socio-spatiales et échelles de contrôle (centre-ville gentrifié, banlieue, périurbain, aire métropolitaine)
  • confrontation des espaces de criminalité, d’insécurité et d’intervention
  • hiérarchie des espaces, polarisation, concentration, visibilité des moyens, espaces stratégiques et touristiques
  • flux globaux, impacts locaux (réseaux Vs. territoires, traçabilité, frontières)
  • gouvernance locale (police de proximité, relations aux élus, cogestion de l’ordre)
  • privatisation des services et des espaces publics (comités de quartiers, patrouille de surveillance, sociétés de gardiennage, vidéosurveillance, enclosure)
  • cartes et nouvelles technologies (représentations cartographiques, cyber-espace/cyber-sécurité, contrôle des espaces dématérialisés)
  • espaces vécus, espaces perçus et mobilité professionnelle

Les articles, rédigés en français, en anglais, ou en espagnol comporteront environ 30 000 signes (plus les illustrations). Ils devront être envoyés avant le 25 octobre 2013 à Marie Redon (marie.redon@univ-paris13.fr ) et Armelle Choplin (armelle.choplin@univ-paris-est.fr) avec copie à Béatrice Vélard (bvelard@univ-paris1.fr), secrétaire éditoriale, qui les transmettra aux évaluateurs. Le dossier sera publié dans le n°28 d’EchoGéo (avril-juin 2014).

Coordination du dossier : Marie Redon, Maître de conférences, Université Paris 13 et Armelle Choplin, Maître de conférences, Université Paris-Est Marne-la -vallée.

• ASRDLF 50ème Colloque

ASRDLF
50ème Colloque
Mons – Belgique–  du 8 au 11 juillet 2013
La frontière et le processus de patrimonialisation : paradoxes et stratégies
Session spéciale coordonnée par :
François Moullé – Université d’Artois
Sabien Duhamel – Université du Littoral-Côte d’Opale

 

Session spéciale S6

La frontière est une cicatrice de l’histoire dont l’ambivalence est permanente. Expression de l’affirmation territoriale du pouvoir, la dimension symbolique frontalière est aussi importante que la dimension matérielle. Dans ce cadre-là, la patrimonialisation de la frontière peut prendre des formes diverses. Ainsi la dimension mémorielle est réguliérement mise en valeur notamment avec la rencontre du douanier et du contrebandier, acteurs de la frontière, sujets des musées de la douane. Citadelles, cimetierres, tunnels, etc., constituent des marqueurs spatiaux et des références de la frontière.  La patrimonialisation peut aussi être un des effets des dynamiques transfrontalières, y compris celles issues de programmes favorisant la coopération transfrontalière. En cherchant à gommer les effets de la frontière, les stratégies mises en places peuvent renouveller la figure de la frontière en jouant sur la dialectique de la rencontre pour annihiler les effets de l’opposition. L’objectif est de limiter la distance créée par la frontière dans la proximité, sublimant la patrimonialisation de la frontière dans un nouveau rôle de lien. La patrimonialisation peut aussi être un enjeu géopolitique pour permettre à la ligne de perdurer dans le cadre de tensions politiques en faveur d’un effacement de la frontière ou du moins l’effacement des fonctions les plus contraingnantes. La mise en tourisme de la frontière peut ainsi être lue comme un outil permettant la valorisation de la rencontre-confrontation des symboles des pouvoirs et des identités qui se rencontrent sur la ligne. L’objet touristique peut aussi bien être la morphologie de la ligne liée à son histoire que les symboles que la frontière permet de juxtaposer, manifestations pouvant être interprétées comme une mise en spectacle de la frontière.  Le patrimoine frontalier est ainsi un outil de protection et d’identification du territoire.

 

Les auteurs proposeront un résumé de 3000 signes, un titre en français et en anglais, ainsi que quelques mots clés. Chaque proposition peut s’intéresser à l’ensemble de la thématique ou à un des aspects des réflexions  proposées.

Proposition de communication :
Délai d’envoi des propositions de communication : 1er mars 2013
Avis du comité scientifique : 20 avril 2013
Envoi du texte complet : 1er juin 2013

Modalités d’envoi :
Les envois des propositions de communication s’effectueront directement en ligne par les participants (cf site du colloque : http://www.asrdlf2013.org). Lors de la soumission de proposition de communication, les participants devront spécifier que leur texte s’inscrit dans le cadre de cette session.

Publication :
La publication d’une sélection de communications présentées est prévue après la colloque. La publication ne sera envisagée que pour les communications dont le résumé et le texte auront été envoyés dans les délais et qui auront fait l’objet d’une présentation effective par au moins un des auteurs.

Contact :
François Moullé, Maître de Conférences, Université d’Artois – Institut des Frontières et Discontinuités
E-mail : francois.moulle@univ-artois.fr

• IPSA RC41 Second Conference on Geopolitics

GEOPOLITICS AND GREAT POWERS

 

 

An International Workshop on Emerging Regional Contests and Contestants

 

Monday, 25 November – Wednesday, 27 November 2013

 

Jerusalem

 

ANNOUNCEMENT / CALL FOR PAPERS

 

The contours of today’s evolving global system suggest two contradictory futures. The first predicts a “Great Convergence” of mankind, whereas the second foresees an emerging “G-Zero” leaderless planet Earth.

 

That the international system could go either way owes to the unprecedented economic and technological globalization shaping our world in one direction — even as a major reshuffling and circulation of power worldwide is leading us in the opposite direction.

 

Economic, domestic and regional uncertainties in the United States, Europe, the Middle East and Asia further challenge students of international affairs to define the political superstructure of tomorrow’s world.

 

The International Political Science Association’s Research Committee on Geopolitics (RC-41) is pleased to announce an International Workshop on “Geopolitics and Great Powers”, aimed at professionally addressing these concerns.

 

The Jerusalem International Workshop format offers the opportunity for close, careful consideration of such questions as:

 

– Are we on the threshold of a unipolar-, bipolar-, tripolar-, or multipolar “moment” in world politics?

 

– In the 21st century what determines any country’s ranking in the hierarchy of power, influence and leverage?

 

– What distinguishes a Great Power from middle-range and smaller state actors?

 

– Who are the actors (both state-and non-state) best positioned to lead in a major rebalancing of power?

 

– To what extent does the United States remain indispensable for today’s world order?

 

– Where are the so-called “flashpoints” with the greatest potential for tipping the delicately-poised scales between stability and instability, development and stagnation, integration and fragmentation, peace and war?

 

Portions of the IPSA RC-41 Workshop Program will be devoted to specific regional problems and contests already on the geopolitical horizons in both the eastern Mediterranean-Persian Gulf zone and the Pacific Basin. These individual case studies on the impact of Great Powers on Geopolitics are meant to reinforce more general insights at the theoretical level.

 

Anyone wishing to participate in the 2013 RC-41 Jerusalem International Workshop on GEOPOLITICS AND GREAT POWERS and to contribute by addressing any of the above topics is cordially invited to submit an initial paper proposal.

 

The Proposal and/or Abstract (limited to 750 words or less) should be sent to Professor Aharon Klieman at aklieman@gmail.com.

 

the final date for submission is 1 April 2013

 

Format:

 

Unlike open international conferences, the Workshop framework is designed to limit participation to a smaller and rather select group of invitees — on the order of 16 to 18 people — each bringing to bear his or her disciplinary expertise or area studies specialization.

 

Accordingly, the Jerusalem Workshop will be conducted in a Round Table format, with scholarly presentations dividing into 8 panel sessions, with 2 – 3 papers at each session, followed by open discussion among the direct Round Table academic participants and invited guests drawn from the diplomatic and policymaking communities. The 8 panel themes are devoted to:

 

– The New International System – “Power” and “Influence” Redefined
– The Emerging Great Powers
– Regionalization in a World of Sub-Systems – Regional Contests and Power Balances
– The Mediterranean & Middle East
– The Asia-Pacific Theater
– Central Asia / Southeast Asia
– Positioning the United States
– Summing Up: Theoretical Insights and Implications

 

The intention is for the Jerusalem Workshop scholars and specialists to then reconstitute themselves into a continuous Working Group for the purpose of presenting a Panel session at the IPSA international conference scheduled for Montreal, Canada in 2014. This follow-up session will enable members of the Working Group to offer a reassessment as well as update of their 2013 observations in the light of intervening events.

 

It is also intended to publish original papers presented at the “GEOPOLITICS AND GREAT POWERS” workshop in book form, or as independent articles in leading professional refereed journals.

 

Program:

 

Monday  25 November

20:00       Opening Reception – Greetings & Keynote Speaker

 

Tuesday 26 November

9:00 – 18:00   Paper Presentations & Discussion

Panels 1 – 4

 

Wednesday 27 November

9:00 – 17:00  Paper Presentations & Discussion

Panels 5 – 8

18:00    Concluding Remarks: “Toward Montreal”

 

Thursday 28 November

(optional)    Group Tour / Policy Meetings

 

General Information:

 

No Registration fee is required.

 

Acceptance is conditioned, however, upon the participant’s commitment to full, active attendance at all panel sessions and discussions throughout the two days of the Workshop, in addition to one paper presentation.

 

Participants in the 2013 Jerusalem International Workshop are expected to cover all personal transportation arrangements and expenses. Limited IPSA conference travel grants may be available upon special request to help defray partial air fare costs for junior scholars or in exceptional cases.

 

Hotel accommodations and meals during the Workshop will be provided for direct participants courtesy of The Leonard Davis Institute for International Relations of The Hebrew University in Jerusalem.

 

All Workshop sessions will be conducted on the Mount Scopus campus of The Hebrew University.

 

Timeline:

 

Announcement & Call for Papers                   February 2013

Submission of Proposals / Abstracts                 April 1, 2013

Notice of Acceptance                                       May 1, 2013

Full Paper Submission                              October 15, 2013

Final Program                                          October 22, 2013

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